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La série « l’immensité des paysages communs » puise son inspiration dans ces « petits » paysages de la vie quotidienne, tellement banals que l’on pense qu’il n’y a plus rien à en tirer. Elle jette son regard là où il n’y a rien à…

Après avoir réalisé un dessin « végétal » à la mine graphique ou à la pierre noire, souvent sur un papier japon awagami, durant de longues heures, je lui cherche un pendant photographique, une image qu’il viendrait enrichir, embellir ou sublimer. Le dessin tatoue l’image, tel un rêve. Parfois, le tatouage se veut également photographique, les images de végétaux se superposent aux images urbaines, nous invitant à un renouveau, à un nouveau départ.

L’image photographique renvoie au passé. Comme si photographier le présent c’était être possédé par le passé.

Il s’agit d’une déambulation spontanée, curieuse et voyeuriste entrant dans l’intimité des jardiniers.

Série de plus de 200 images, floues, furtives, figeant la devanture d’habitations

Parcours photographique spontanée dans les couloirs d’une presque ruine de Clairefontaine.

Parcours photographique spontané dans les couloirs et pièces d’un ancien hangar à grain en Essonne.

Série photographique d’un pré brumeux de la vallée de chevreuse accuaillant un troupeau de vaches Highland

Ces photographies personnelles fixent ma mémoire, mes sensations, les odeurs, le goût, le toucher des personnes qui m’entourent aujourd’hui et du lieu où je vis, telles des réminiscences.

La série « l’immensité des paysages communs » puise son inspiration dans ces « petits » paysages de la vie quotidienne, tellement banals que l’on pense qu’il n’y a plus rien à en tirer.

Série fantomatique mêlant la photographie au dessin, à l’encre de chine, à la gravure, présentant des animaux de bord de route captés en pose longue la nuit, éclairé uniquement par les phares des voitures passantes.

Mes road movie photographiques présentent mes déplacements quotidien.

©caroline leite 2021 – Tous droits réservés